Médecin rédige son ordonnance
Chaque personne a besoin de se rendre chez le médecin.
Au Québec cette visite est particulière, parce que nous avons besoin une matinée ou peut-être une journée complète pour rencontrer le médecin et avoir la diagnostique de la maladie.
Au Québec cette visite est particulière, parce que nous avons besoin une matinée ou peut-être une journée complète pour rencontrer le médecin et avoir la diagnostique de la maladie.
Par : Adam Mira
Lorsqu’on rentre dans le cabinet, après cinq ou six heures
d’attente, une infermière vient et nous demande la raison pour laquelle nous se
trouvons à la clinique!
La conversation se roule rapidement, elle, l’infermière
son visage collé à l’écran de l’ordinateur, elle n’écoute qu’à moitié qu’est-ce
qu’on dit, elle ne nous regarde jamais dans les yeux. Lorsque le patient essaie
d’expliquer d’avantage. C’était une conversation avec le machine et elle
continue sèchement, quand le médecin vient vous pourriez lui parler.
- C’est compris, merci.
Après le
départ de l’infermière, notre héros, le médecin vient portant l’informe
universelle, la chemise blanche et l’appareil le stéthoscope autour de son cou.
Il prend
tout de suite sa place devant l’ordinateur et commence à rédiger son rapport.
Le patient
pour lui ne se présente qu’une somme d’argent, aucune amitié se tisse entre les
deux, le premier cherche un remède l’autre l’argent. Une relation délicate,
mais obligatoire.
Le patient
cherche un moment de caresse et d’espoir, car lorsqu’on tombe malade, on
devient sensible et sentimentale. Pourquoi, je ne sais pas?
Le plus dur
encore que le médecin ne regarde pas le patient, son visage collé à l’écran de
son ordinateur et après une rapide conversation il imprime une ordonnance.
- Si
la maladie persiste, vous pourriez retourner.
- Pas d’autre rendez-vous?
- Non.
- Merci.
- Pas d’autre rendez-vous?
- Non.
- Merci.
Quelle merveille, tout est fini pendant quelques
minutes, après avoir attendu cinq ou six heures, la diagnostique a duré
quelques minutes.
Le malade sort désespérée et il jour qu’il ne tombera
plus malade. C’est ironie, car la vie ne nous accorde jamais cette chance.
Alors, bienvenue au Québec.
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