mardi 22 mars 2016

Pour quelle raison les attentats avaient-ils lieu à Bruxelles?


Adam Mira

Quelques jours après l’arrestation d’Abdeslam Salah le cerveau présumé des attentas de Paris, la capitale Belge a subi à une série d’attenta en tuant des dizaines et blessant des centaines.
La question pour quelle raison les attentats sont-ils venus quelques jours après avoir incarcéré Salah?

Pendant la Guerre algérienne contre la colonisation française (1954-1962), il y  a eu une règle clé que lorsque le Moudjahid est fait arrêter par la police française, il devait résister 24 heures sous la torture des français( l’armée français pratiqua la torture pendant cette guerre) afin de laisser le temps suffisant aux autres Moudjahidin de trouver un nouvel abri.

Dans ce cas, la majorité des kamikazes et djihadistes qui ont commis des attentats en Europe sont d’origine maghrébine, et ils savaient très les règles de la Guerre algérienne.
Abdeslam a reçu hier deux interrogatoires, et les medias ont diffusé aujourd’hui que le cerveau présumé des attentats de Paris a été interrogé deux fois par les agents de service français et belge, dans ce cas, la cellule dormante dont Salah faisait parti il n’aura pas assez de temps de fuir ou de se cacher, alors les membres de cellule ont choisi les cibles planifiés depuis longtemps avec Abdeslam, leur acte est pour passer un message que la terreur continuera et il est proposable que l’Europe soit frappée à nouveau dans les prochains jours ou semaines selon les besoins de leur leader.

La seule solution pour éviter à nouveaux des attentats, il faut rapidement et activement interroger le criminel arrêté, sinon l’Europe sera frappé par une  nouvelle série d’attentat.
Bien sûr nous allons attendre beaucoup de politologues qui montrent des théories et des hypothèses qui sont très loin de la réalité, je pense qu’il faut analyser les actes terroristes avec simplicité et après la récolte assez d’informations, et réagir rapidement sans laisser le temps aux criminels de nous attaquer à nouveau.


J’insiste sur l’idiomatique criminel, mais pas terroriste, car selon moi, le criminel tue pour avoir l’argent, par contre le terroriste utilise une idiologie comme l’Islam afin de se cacher et de justifier ses actes criminels pour avoir l’argent et le pouvoir, comme l’État islamique qui doit avoir le nom l’État satanique.                                                                                       A.M

samedi 19 mars 2016

LA PLAIE DU PASSÉ (Adam Mira)

Mira-Plaie du passe


LA PLAIE DU PASSÉ (Adam Mira)

YSENGRIMUS   Dans ce recueil de seize nouvelles réalistes et intimistes, on nous invite à voir le monde contemporain à travers le regard d’un palestinien ayant vécu dans un camp de réfugiés jusqu’à l’âge de quarante ans puis ayant subitement immigré, lourdement lacéré des plaies du passé, au Québec et ce, avant d’avoir appris ne fut-ce que les rudiments les plus minimaux de la langue française. L’écriture dépouillée et directe d’Adam Mira nous fait entrer en toute simplicité dans un univers mental et social étonnant, déroutant, à la fois tragique et crucial. D’un récit à l’autre, on rencontre un homme (ou des hommes) ayant vu sa famille massacrée sous ses yeux… ou ayant vu le laitier d’un quartier d’Alger froidement abattu par la soldatesque juste parce qu’il commençait à bosser avant l’aube… ou côtoyant une mère atteinte de quasi-mutisme à cause des cruautés et des privations des camps et de la guerre. La souffrance aiguë, l’arrachement et le profond manque affectif sont omniprésents dans ces récits, à mi-chemin entre fiction et témoignage.
Malgré le fait que ma mère et mon père m’aient rendu visite pendant plusieurs années, ils ne m’ont jamais pris dans leurs bras, ils ne m’ont jamais fait de câlin. Chaque fois que je voyais quelqu’un devant moi qui recevais une tendresse ou un câlin, la jalousie envahissait mon cœur. J’avais soif d’amour, j’avais besoin de vivre le reste de ma vie entre les câlins et les tendresses!
La dimension cuisante et poignante des drames évoqués dans cet ouvrage est donc subtilement équilibrée par le ton prosaïque, tranquille et limpide du traitement. Le résultat est à la fois très authentique et d’une étrangeté presque décalée, le tout restant solidement installé dans l’ordinaire et le quotidien (même le quotidien bizarre des camps). Un autre facteur particulièrement savoureux et insondablement sympathique entre en ligne de compte au fil de ces historiettes en forme de miniatures. C’est celui de la langue. Le (ou les) personnage(s) mis en scène doit avancer pas à pas dans l’apprentissage de la langue française. Et, par moment, il nous en parle, il en fait le sujet direct et explicite de certains de ses récits. Apprendre consciencieusement le français lui suscite d’ailleurs un mal inattendu à… la langue, justement… la langue l’organe, on s’entend. En travaillant méthodiquement son français, entre autres devant le miroir, notre personnage doit tellement ajuster son appareil phonateur qu’une douleur linguale assez durable se met en place (la nouvelle s’intitule: La langue me faisait mal). Comme quoi, oui, il faut souffrir de la bouche aux pieds, pour s’intégrer. Mais on a ici une petite lancinance bien bénigne va, comparée à celle de ces plaies du passé qui vous rendent presque suicidaire. L’intégration et l’ajustement culturel sont, avec le déracinement et le fardeau durable qu’imprime en nous la Storia, les principaux thèmes de cette suite d’attachants récits. Le monde ordinaire, surtout le contexte quotidien occidental, y est regardé avec un sourire mi-serein mi-taquin mais aussi à travers une singulière lentille, une dense lentille de larmes, en fait. Titre des seize textes: Un automne lugubre. Lutter en français. Mes tentatives de suicide! La langue me faisait mal. J’ai déniché un travail. La femme suspecte et les deux samaritains. La Blanche! Je suis tombé amoureux d’une japonaise. À la recherche de Nadia. Histoire d’une maison. Bénévole indésirable. République bananière. La plaie du passé. Un voyage à travers le temps. De la part d’une princesse célibataire. Chez les frères Castro.
Écrivain réaliste donc, sorte de mémorialiste émotionnel, Adam Mira ne néglige cependant pas la dimension symbolique dans certains de ses récits. Parfois c’est une maison qui parle de son passé (Histoire d’une maison), parfois c’est nulle autre que la Mémoire de l’Humanité qui disserte sur elle-même (Un voyage à travers le temps). Une autre de ces nouvelles (De la part d’une princesse célibataire) est un véritable conte oriental. La reine d’un petit oasis se cherche un mari. Pour attirer vers elle les hommes ayant le plus de prestance, de stature, de noblesse d’âme et de conversation, elle va organiser un grand concours de composition et de récitation de poésie. Tous les apprentis baladins de l’horizon vont se rameuter. Mais…
Je ne vous en dis pas plus… sauf pour dire que le monde est si beau et que le monde est si cruel. Tel est le message fondamental du recueil de nouvelles La plaie du passé..
J'ai pris cet article de site Web:

http://www.les7duquebec.com/7-au-front/la-plaie-du-passe-adam-mira/

mercredi 16 mars 2016

Mon livre est sorti



J'aimerais vous annoncer que mon livre de nouvelles: La plaie du passé est maintenant sur le site web: http://www.elpediteur.com/auteurs/mira_ad/2016_plaie.html

Et vous pourriez le parcourir dès maintenant.

Bonne lecture
                                                                                                                                             Adam Mira

dimanche 13 mars 2016

Les syriens fêtent leurs 5ème année de Révolution


Adam Mira

Des centaines des syriens se sont réunis au centre de la ville de Montréal afin de fêter la cinquième année de la Révolution syrienne contre le régime de Bachar al-Assad.
Plus de deux cents personnes canadiennes d’origine syrienne ont répondu à l’invitation des activistes; afin de fêter la cinquième année de révolte de peuple syrien contre le régime baathiste de Bachar al-Assad.
La manifestation a commencé vers 14h, lorsque les syriens se sont réunis près de la station Guy Concordia comme chaque année, la manif a débuté la marche sur Sainte-Catherine, on voit clairement quelques voitures de la Police et des journalistes de différents branches : presse écrite, radio et télévision.
Dès la manifestation a commencé des devises en français, en arabe et en anglais répétés contre le régime de Bachar al-Assad et pour la liberté de la Syrie. «Le peuple veut renverser le régime» c’est le célèbre slogan du printemps arabe, on l’entend encore et encore.

J’ai entendu certains syriens qui racontent leurs histoires et prônent leurs opinions, différents avis mais on arrive rapidement à conclure que la seule chose qui réunit les syriens est  le départ du Bachar el-Assad.
Une femme s’est approché de moi, elle m’a demandé d’aider deux réfugiés syriens  qui étaient coincés sur la rue Saint-Laurent et ils ne savaient même pas comment ils pouvaient arriver à la place de la manifestation, la Dame leur a parlé plusieurs fois, ils n’ont rien compris, ils ne parlaient ni français ni anglais!
Un autre réfugié nous a parlé qu’il avait quitté la Syrie, car il ne voulait pas participer à la guerre, et il avait refusé de porter l’arme, il était donc obligé de  quitter le pays à cause de son refus.

Finalement, l’année passée il y a eu plus de trois mille personnes qui ont participé à la manifestions, il y avait des arabes de toutes nationalités, même il y a eu des cadeaux, cette année aucun drapeau arabe qui flottait à côté du drapeau de la Révolution syrienne, c'est-à-dire cette révolte n’est plus rentable pour beaucoup de personnes, et dans ce cas la fin de cette guerre va durer très, très longtemps.
La marche a fini à la Place des arts, et les manifestants ont donné un nouveau rendez-vous pour l’an prochain en songeant que la libération de leur pays sera bientôt.                                                                                                                                                                        A.M  


jeudi 10 mars 2016

Je t'aime


  1. Je t’aime jusqu’au jour où tu t’ennuieras de moi, et lorsque tu ne m’aimeras plus, dis-le-moi, pour que je commence à t’aimer à nouveau.                                                                                                                 Adam Mira

mardi 8 mars 2016

Mon recueil de nouvelles est sorti: La plaie du passé


La plaie du passé est le titre de mon ouvrage qui sortira le 17 mars 2016 avec la maison d'édition québécoise ÉLP.

Dans ce recueil de seize nouvelles réalistes et intimistes, Adam Mira nous invite à voir le monde contemporain à travers le regard d’un Palestinien ayant vécu dans un camp de réfugiés jusqu’à l’âge de quarante ans, puis ayant subitement immigré, lourdement lacéré des plaies du passé, au Québec. L’écriture dépouillée et directe de cet auteur, qui a appris des rudiments de français au cours de ses pérégrinations, nous fait entrer dans un univers mental et social étonnant, déroutant, à la fois tragique et presque comique.

D’un récit à l’autre, on rencontre un homme ayant vu sa famille massacrée sous ses yeux… ou ayant vu le laitier d’un quartier d’Alger froidement abattu par la soldatesque juste parce qu’il commençait à bosser avant l’aube… ou côtoyant une mère atteinte de quasi-mutisme à cause des cruautés des
camps et de la guerre. La souffrance aiguë, l’arrachement et le profond manque affectif sont omniprésents dans ces récits, à mi-chemin entre fiction et témoignage.
Heureusement, la dimension poignante des drames évoqués dans ces récits est équilibrée par le ton prosaïque, tranquille et limpide du traitement. Le résultat est à la fois très authentique et d’une étrangeté presque décalée, le tout restant solidement installé dans l’ordinaire et le quotidien (même le quotidien
bizarre des camps).
En lisant ce recueil de nouvelles d’Adam Mira, on se dira sans doute, encore une fois, que le monde est si beau, que le monde est si cruel. Tel est le message fondamental de La plaie du passé.

ÉLP éditeur est une maison d’édition québécoise qui publie douze ouvrages par année. Pour en savoir davantage sur nos auteurs, et pour lire de nombreux extraits de leurs ouvrages, n’hésitez pas à visiter notre site Web : www.elpediteur.com


Mon ouvrage sera dans le marché à partir de 17 mars 2016. 
Adam Mira