Toute le monde parle du rêve canadien, celui de vivre ensemble sans racisme et sans discrimination et de paix dans un pays qui a une démocratie avancée, mais chaque fois ce rêve se brise à l’émergence d’une nouvelle guerre et avec des décisions politiques qui ne ressemblent pas à l’esprit canadien dont les décisions prises pour faire la guerre contre la Russie au détriment de l’Ukraine, même l’opposition augmente ses exigences pour mettre le gouvernement minoritaire à Ottawa dans l’embarras et profiter de la situation, sans vraiment comprendre la situation.
Par: Adam Mira
Personne ne doute de la tyrannie de Vladimir Poutine, et sa volonté d’écrire son nom dans l’histoire contemporaine de son pays, et sa volonté de récupérer ce que la Russie a perdu après la chute humiliante de l’Union Soviétique en 1991 sous les frappes continuants de l’Occident. D’ailleurs, Poutine décrit cette chute comme un moment douloureux de l’histoire.
En effet, son invasion à l’Ukraine a commencé en 2014 après la chute du régime pro-russe par l’addition de Crémé à la Russie, puis la guerre menée par les séparatistes russe habitants aux villes frontalières avec la Russie contre Kiev, Poutine se poursuit son but de mettre l’Ukraine à genoux, car il pense que l’Ukraine doit être un pays neutre et n’a pas le droit de menacer la Russie.
Les exigences de Poutine
Le président russe demande à l’Occident de ne pas additionner l’Ukraine à l’OTAN et de la considérer en tant que pays neutre qui ne fait aucune alliance avec l’Occident contre la Russie, la réponse occidentale vient que l’Ukraine seule qui a le droit de dicter sa politique et le président ukrainien Volodymyr Zelensky insiste sur le point de faire partie de l’Union Européenne et d’être membre de l’OTAN.
En 1962, les Américains ont découvert la présence des missiles russes sur le sol cubain, cette découverte pouvait une guerre mondiale, car les États-Unis considèrent la présence de missiles auprès de ses frontières est une menace à sa sécurité nationale, après une discussion secrète entre les deux puissances à cette époque débouche sur un accord, les Russes renoncent aux missiles et les Américains retirent leurs missiles du sol turque, l’affaire est close.
Depuis la cute de l’union Soviétique l’Occident n’arrête pas d’humilier la Russie et ne tient pas sa parole de ne pas additionner les pays de l’Europe de l’Est à l’OTAN, alors en face de cette politique humiliante, M. Poutine a pris sa décision de se venger, d’ailleurs avec une attitude impolie avec ses homologues occidentaux comme son attitude la dernière fois, comment il a accueilli le président français, puis il a poursuit son attitude insolante en laissant M. Emmanuel Macron derrière lui après la fin de conférence de presse qui a uni les deux pour répondre aux journalistes. Dans la même voie, l’ex-président américain Barak Obama décrit Poutine dans ses mémoires Terre promisse en tant qu’homme froid et rude.
En effet, toutes les conditions sont réunies afin de donner à Poutine d’exécuter son but d’humilier l’Occident et de se venger de son pays.
Une guerre personnelle
Le président américain Joe Biden a une position rude contre Poutine, même il l’a décrit dans une interview en tant qu’assassin. Biden veut donner une leçon à Poutine que son pays n’est plus une puissance mondiale, mais une puissance régionale et n’a plus le droit de rêver d’être une puissance en face des États-Unis, en plus il veut se venger de l’intervention russe dans les-ex élections présidentielles américaines qui ont mené Donald Trump à la Maison Blanche, aussi Biden considère Poutine comme un épineux mineur et c’est facile à le mettre à genoux.
l’Occident est toujours divisé entre deux opinions ou deux postions, celle de l’Europe et l’autre des États-Unis, car chacun entre les deux a des intérêts différents, surtout que l’Europe qui paie le prix seule en cas de guerre, car l’Amérique est très loin des fronts de guerre.
Biden face à Poutine, une animosité entre deux personnes dont chacun a un but à atteindre, un conflit entre une démocratie avancée et une démocratie naissante.
Le rôle raté du gouvernement canadien
Tout de suite après les sanctions européennes et américaines prises contre la Russie, le Canada a pris sa part et imposé ses sanctions contre la Russie. Canada est une démocratie avancée et prêche tout le temps la paix et le vivre ensemble, cependant, dans ce conflit, il a raté son rôle, il fallait prendre l’initiative et commencer d’être l’intermédiaire entre le tyran Poutine et l’Occident, car il possède une relation étroite avec les États-Unis et l’Europe. Le défit devant Canada, il a été positionné dès le début du conflit en 2014 contre la Russie, même il a dépassé les États-Unis et l’Europe, cela montre la présence d’un lobby près de M. Trudeau qui lui empêche de voir toute la vérité sur plusieurs angles et de s’intervenir en tant que pays qui chercher à mettre fin à cette guerre, le sarcasme dans cette situation soit la position de l’opposition qui a proposé des mesures inappropriées à la politique canadienne, comme ôter les visas aux réfugies ukrainiens, sans se rendre compte à la gravité de cette proposition à la sécurité nationale, heureusement que le gouvernement ait décliné cette suggestion.
En tant que pays de puissance moyenne, Canada peut jouer un rôle très important sur la scène internationale pour rétablir la paix non seulement en Europe, mais aussi dans le monde entier, pour réaliser cette politique prospère Canada a besoin des politiciens qualifiées.
Conclusion
Poutine continuera sa guerre pour atteindre ses buts, l’Occident prendra ses mesures afin de faire de cette guerre un marais pour l’armée russe, et imposera des sanctions draconiennes afin de détruire l’économie russe, il est claire que la guerre sera longue, mais le monde après l’invasion serait-il comme avant? A.M
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