Montréal : corruption, drogue et chômage!

Adam Mira

Montréal est la troisième  ville francophone après Paris et Alger, cette métropole présente le symbole de la province de Québec en Amérique du Nord et dans quelques mois, elle va fêter ces 375 ans d’existence.  

Un passant à Montréal voit une ville éblouissante, prospère et vivante : des festivités, des activités culturelles et des réunions internationales, etc.

Cette métropole a eu une histoire importante dans l’existence canadienne, elle était la capitale économique et politique du Canada, puis seulement économique et ensuite elle est devenue la ville la plus importante au Québec.

Après l’arrivée des séparatistes au pouvoir au début des années 80, Montréal a perdu sa valeur, beaucoup d’hommes d’affaires ont déménagé à Toronto, cette dernière qui est évoluée et remplacée Montréal sur la scène canadienne.

Cependant, après cette longue introduction, mon sujet abordera comment cette métropole importante est-elle devenue le centre de la corruption, de drogue et du chômage?  

L’année passée la Commission Charbonneau a mis son rapport au gouvernent après plus de deux ans du travail juridique et des rencontres avec des suspects, des potentiels mafieux, des anciens politiciens et des ministres etc.  le rapport se concentre sur un seul point : comment arracher la corruption de la ville.

Selon une source importante, la corruption dans le domaine de construction existe depuis l’arrivée du Parti québécois au pouvoir,  et avec le temps ce réseau est  devenu plus large et a implanté des pions un peu partout dans l’administration québécoise.                               

Les recommandations du rapport de la Commission Charbonneau ont poussé le gouvernement à réagir et à faire le ménage  dans ce secteur, les corrompus doivent rester clame un peu de temps, avant de reprendre leur travail à nouveau. Notre source a ajouté.

Si quelqu’un fait un petit tour à Montréal, il découvrira rapidement que la corruption a finalement repris sa place, des parcs en plein des travaux, des stations de métro, des chantiers complets sont ouverts afin d’exécuter des travaux un peu partout dans la ville, bien que la ville ait besoin d’autres travaux.

Chaque année parc Laurier est un champ des travaux, et des milliers de dollars ont été dépensés pour rien. Un espace aménagé de 50 m2 pour des enfants a coûté un demi-million de dollars, un autre projet pour remplacer les asphaltes dans le parc par de sable à coûter un million de dollar, puis une partie de ces ruelles asphaltées a été changée contre des carrelages etc. bien que les asphaltes du Plateau de Mont-Royal   soient pleins de nid de poule et aient besoin de travail urgent.

Si le gouvernement ouvre une enquête sur les dépenses des municipalités, il pourra récupérer des milliards à la place de couper les budgets à l’éducation de nos enfants, notre gouvernement pratique  la politique d’autruche.

En outre en marchant dans la rue, dans les parcs et dans des espaces publiques ont senti l’odeur de cannabis et de haschisch. Ce genre de drogue est installé partout dans la société, et je pense que l’outil de gouvernement la Police sait tout sur la mafia qui distribue ce produit qui détruit la santé de nos citoyens!

Et finalement le chômage, selon un article paru la semaine passée dans le journal montréalais La Gazette, la métropole francophone au Nord d’Amérique fait partie du top 15 pires cités au monde pour les chercheurs de travaux.  Le mot-clé de ce défi  est la discrimination. On remarque que le pourcentage des immigrants arrivants à Montréal est : 34% Européens, 20% Français, 30% Maghrébins etc. bien que le taux du chômage soit 25% parmi les maghrébins, chez les latinos et les noirs peut-être plus.

En somme, notre ville qui est le cœur de Québec a besoin beaucoup de travaux afin qu’il soit une ville propre et tolérante.

Cet article est une participation afin qu’on se concentre sur notre ville qui a besoin de notre aide.                                                                              A.M