La
vie est un théâtre dans lequel chacun d’entre nous joue un rôle. Sur la scène quotidienne
chaque personne interprète sa vie en se cachant derrière un masque
soigneusement choisi. Le but de ce déguisement est de convaincre l’entourage,
la maison, le travail, etc., du bien fondé de ses opinions.
Par: Adam Mira
Le
philosophe George Santayana écrit dans, Soliloquies in England and Later
soliloquies, « Les masques sont des
expressions figées et d’admirables échos du sentiment, à la fois fidèles,
discrets, et plus vrais que nature. Les choses vivantes en contact avec l’air
doivent avoir un épiderme, et on ne saurait reprocher à l’épiderme de n’être
pas le cœur. Pourtant certains philosophes semblent en vouloir aux images de
n’être point les choses et aux mots de n’être point les pensées. Mots et images
ressemblent à des coquilles; ils ne font pas moins partie de la nature que les
substances qu’ils recouvrent, mais ils parlent mieux à l’œil et s’ouvrent
davantage à l’observation. Je ne veux pas dire que la substance n’existe que
pour l’apparence, ou les visages, que pour les masques ou les poissons, que
pour la poésie et la vertu. Rien ne se produit pour autre chose dans la nature;
le cycle de la vie englobe également tous ces moments et tous ses effets…[1]»
La
vie quotidienne est une mise en scène qui représente : nos sentiments, nos
comportements, nos habitudes, nos idées, nos pensées, notre colère, notre
malveillance, notre bienveillance, etc., toutes ces perceptions font partie de
nos vies habituelles et de notre système
monotone. D’ailleurs, la mise en scène joue un
rôle primordial afin d’éclairer la signification du texte et d’influencer la
compréhension de l’œuvre[2].
Les
textes littéraires nous décrivent les différentes conceptions à travers des
scènes qui représentent : une idée, un acte vaillant ou lâche, un
sentiment, un plaisir, un caprice ou une envie afin de finalement nous aider à
comprendre le sort de vie. Cependant, l’explication de chaque acte de rédaction
mis sur la scène peut avoir maintes interprétations pour éclairer ce qu’elle
dissimule entre les lignes.
J’ai choisi de défendre cette
problématique à travers trois textes étudiés : La vie de Lazarillo de
Tormès, La vie est un songe et finalement Œdipe roi. Les deux premières rédactions
sont exigées par le maître du cours, cependant, j’ai opté pour Œdipe roi en
tant que troisième texte, car il contient des scènes qui s’adaptent à ma
problématique ou a priori met la
lumière sur certaines interprétations projetées sur la scène.
·
La vie est un songe : connaissance,
humain et liberté
La pièce de théâtre La vie est un
songe a été écrite en 1635 par Calderón, poète et dramaturge espagnol, qui raconte le dilemme omniprésent dans la vie : le jeu et le
songe, l’illusion et la réalité.
Sigismond, le personnage principal de cette pièce, fait une sorte de plaidoyer où
il pose des questions et veut connaître les réponses. Bien qu’il soit emprisonné depuis très
longtemps, il possède assez de connaissances. Par ailleurs, il s’interroge sur
la vie et le malheur qui vient avec la naissance, il pense que d’être mis à la
vie est un crime. La liaison entre la vie et le crime nous guide au Livre de Job de l’Ancien Testament ou le
Testament Abrahamique qui fait le lien, en quelque sorte, entre la vie et le problème
du Mal, ce dernier terme explique les caractéristiques contradictoires de
Dieu : la force et la bonté. Un discours
qui provient d’une personne qui possède assez d’intelligence et de savoir, pour
qu’elle puisse poser ce genre de questions bien délicates dont il est difficile
d’avoir des réponses claires et suffisantes.
Quoiqu’il passe la majorité de sa
vie dans une tour construite pour être sa prison, son père lui accorde tout de
même l’éducation et le savoir. Ce privilège est très important pour un prince
qui fait partie du premier rang de la société. En effet, il a beau eu suffisamment
de connaissances, il n’arrive pas à résoudre l’énigme d’être prisonnier, sans
expérience et sans avoir la logique nécessaire et suffisante pour interpréter
sa situation compliquée. Il possède la théorie, mais pas la pratique, tout ce
qu’il sait vient de son mentor et des livres lus dans son isolement forcé. Faute
d’expériences, il est perdu.
«Je
voudrais seulement savoir, pour en finir avec mes tourmentes- en laissant de
côté, ô cieux, le crime d’être né-, en quoi j’ai pu vous offenser davantage,
pour être châtié. Les autres ne sont-ils pas nés? Et du moment qu’ils sont nés,
quels privilèges ont-ils reçu dont moi je n’ai jamais joui?»
Sigismond
s’interroge aussi à la place de l’humain dans la nature, même il mit en scène
une comparaison entre l’humain et l’animal, ce dernier qui naît libre fait ce
qu’il veut : il vole, il nage, il court sans aucun souci ou contrainte par
rapport à l’homme qui est né avec un crime. Le prince-prisonnier fait sa
comparaison en se
basant sur ses connaissances théoriques, il ne trouve finalement que l’animal
afin de le comparer à l’homme. A-t-il raison de faire ce jugement, cette
interprétation? Il est clair qu’il possède une seule vérité, sa vision personnelle
de l’univers. De ce fait, chacun a sa vérité, son optique face au monde où il
vit. La liberté qui est la base de la
vie, celle-ci serait sans goût ni saveur si l’être en est privé. Sigismond
arrive à interpréter cette scène grâce au savoir reçu, une connaissance qui lui
a ouvert les yeux vers cette vérité que la liberté est la base de la vie.
« L’oiseau
naît et, à peine la parure qui lui donne une beauté suprême fait-elle de lui
une fleur de plume ou un bouquet pourvu d’ailes, que, refusant de s’attendrir
sur le nid qu’il laisse à l’Abandon, il fend d’un vol véloce les espaces
éthérés. Et moi qui n’ai plus d’âme, j’ai moins de liberté ? Le fauve naît
et, à peine son pelage où se dessinent des taches splendides fait-il de lui une
constellation d’étoiles (grâce au savant pinceau), que, violent et cruel, il
apprend de l’humaine nécessitée à être sanguinaire, semant la terreur dans son
labyrinthe. Et moi dont l’instant est meilleur, j’ai moins de liberté? »
Le prince-prisonnier ne cesse de crier et de réclamer
la position de l’humain dans la nature en faisant référence à des métaphores, afin de s’interroger sur sa
situation, en insistant sur son manque de liberté et son isolement depuis
longtemps. Ces cris restent sans écho, car il reste éloigné de son but d’être
libre, mais il parle aussi de son éducation, de sa
relation avec la nature et de son maître qui était capable pendant de longues années
de capter son attention et de lui donner la connaissance nécessaire pour
comprendre la vie.
Il reste
une personne bien instruite, mais sans aucune expérience, sa relation avec les
animaux est plus proche que celle avec l’humain, d’autant plus que son maître
reste son seul et unique contact humain.
« … au milieu de malheurs si accablants,
j’ai étudié la vie en société, enseigné par les bêtes, instruit par les
oiseaux, et que j’aie mesuré les orbes des astres souriants, toi seul pourtant,
oui toi, tu as retenu le déchaînement de ma fureur, fasciné mes yeux et captivé
mon oreille. »
L’auteur projette sur la scène la connaissance et
la position de l’humain dans la nature. L’humain qui est susceptible de s’adapter
à toutes les conditions de vie et même d’avoir la force d’apprendre grâce aux animaux
certaines connaissances qui sont capitales afin de comprendre la vie, la
société, la loi, le pouvoir, etc., cependant, sans avoir la pratique et
l’expérience personnelle à côté de la théorie, la connaissance théorique reste
handicapée.
·
La vie de Lazarillo de Tormès : la
faiblesse de l’humain
L’ouvrage La vie de Lazarillo de
Tormès a été écrit en 1554, c’est un roman picaresque, espagnol, dont
l'auteur est inconnu. Souvent, La vie de Lazarillo de Tormès est
considéré comme le premier roman picaresque et fondateur de la littérature
espagnole avec, sans doute, Don Quichotte.
Le protagoniste de ce roman Lazarillo est un petit
garçon qui naît au début du XVIe siècle et erre de maître en maître, dessinant
à travers son expérience un portrait de la société espagnole de cette époque-là,
ainsi qu'un portrait des vanités et des faiblesses humaines. Le personnage
principal est un picaro qui quitte sa famille afin de monter l’échelon social
et continuer sa voie. C’est une figure marginalisée de la société espagnole,
lancée sur la scène par l’auteur afin de raconter le parcours de cet humain
dans la société. Une mise en scène de la vie quotidienne d’un picaro qui cherche
par tous les moyens de survivre et de sortir de sa situation misérable. Bien
que Lazarillo, le personnage principal, soit à la recherche de quoi manger tout
au long du roman, l’intelligence de l’auteur est de mettre en scène le manque
constant de nourriture.
« Or, comme nécessité fait loi, m’en voyant toujours si
pressé, nuit et jour je ne faisais que penser aux moyens que je pouvais avoir
de garder en vie, et pour trouver ces pauvres expédients, m’est avis que la
faim m’éclairait, car on dit qu’elle aiguise l’esprit, à l’inverse de ventre
plein, j’en fis bien sur moi l’expérience. »
Le maître avec qui Lazarillo a vécu sa première
histoire est un aveugle, il l’aide à apprendre comment se débrouiller dans la
vie et à être capable de continuer son chemin sans souci ou obstacle. Bien qu’il
soit aveugle, il a l’intelligence de bien expliquer comment réussir dans la
vie. La cécité est une figure importante dans les textes littéraires incluant
notre texte en question qui montre que l’aveugle n’est pas celui qui perd la
vue, mais au contraire celui qui a un cœur fermé, un esprit qui ne voit pas et
reste clos devant l’instinct de Dieu.
« Apprends, nigaud, qu’un garçon d’aveugle doit en savoir plus
long que le démon. Et ce bon tour le fit bien rire. Il me semble qu’à cet
instant je m’éveillai de l’innocence où, comme un enfant, je dormais encore. Je
me dis en moi-même : « LE bon homme a raison; désormais, il me
faut ouvrir l’œil et le bon, car je suis seul, et voir comment je peux me
débrouiller. » Nous nous mîmes en route et en quelques jours à peine il
m’enseigne l’argot du métier. Voyant que j’avais l’esprit vif, il s’en réjouissait
fort et il disait : - Sache que moi je ne puis te donner ni or ni argent;
mais de bons conseils pour t’apprendre à vivre, je t’en donnerai
d’abandon. »
En effet, celui qui veut avoir une vie éblouissante
et grimper les échelons de la société et laisser
derrière lui le manque de nourriture et la pauvreté, il lui est nécessaire
d’avoir la connaissance, le savoir, l’intelligence et l’esprit ouvert et vif. Lazarillo
veut finalement sortir d’une vie faite de manque et décide de quitter l’aveugle
qui a découvert son coup monté pour voler sa nourriture. Ce maître a le don de prophétie et de lire le futur bien qu’il ne
voie pas. Cependant, le garçon a appris suffisamment afin de commencer une
nouvelle vie et d’ouvrir un nouveau chapitre avec un autre patron.
« … Mais le pronostic de l’Aveugle ne fut point erroné et, depuis,
j’ai souvent pensé à cet homme, qui, assurément, devait avoir tours que je lui
jouai-quoique j’en ai payé le prix-, quand je considère que ce qu’il me dit ce
jour-là se vérifia bel et bien, ainsi que vous ne manquerez pas, Monsieur, de l’apprendre. »
Finalement, après plusieurs expériences avec
différents maîtres, Lazarillo réussit dans sa vie et arrive à sortir du manque.
Il grimpe les échelons de la société, mais il tombe sur une autre histoire. Néanmoins, l’expérience de Lazarillo avec
l’aveugle nous guide à aborder le sujet de la vue dans le troisième texte d’Œdipe
roi. La métaphore, la vue est très présente dans la littérature, l’auteur
d’Œdipe roi projette sur la scène l’allégorie, la vue comme un aspect
d’apparence et de compréhension. D’ailleurs, la
signification du thème de la vue utilisé dans Œdipe Roi joue un rôle décisif
dans la compréhension de ce texte littéraire et peut révéler plusieurs
acceptions afin de finalement saisir le dessein de
l’auteur de se servir de ce thème dans sa rédaction. La vue dépend en général
de la lumière (le jour) et la cécité de l’obscurité (la nuit), l’apparence en
tant qu’un aspect extérieur et la substance comme une allure intérieure. Dans
ce cas, une question se pose : l’apparence dépend-elle des yeux ou du
cœur?
·
Œdipe
roi : lumière et obscurité
Une discussion de rapprochement sur la scène entre
Tirésias, le sage aveugle, et
Œdipe.
Tirésias pense qu’Œdipe roi l’accuse d’être aveugle qui ne voit rien, le
premier répond à cette accusation que le deuxième voit avec ses yeux, cependant
il ne voit pas la misère qui le frappe.
« Tirésias :
... Tu me reproches d’être aveugle; mais toi, toi qui y vois, comment ne
vois-tu pas à quel point de misère tu te trouves à cette heure? Et sous quel toit
tu vis, en compagnie de qui?... Il y voyait : de ce jour il sera aveugle…
»
D’ailleurs, la
perte de vue de Tirésias n’est pas venue avec sa naissance, au contraire, il a perdu
la vue à cause de ces rencontres avec les dieux. Selon la mythologie grecque,
il y a plusieurs versions. Comment Tirésias a-t-il perdu la vue ? Selon
l’une de ces versions, Zeus en rage contre Tirésias, qui a pris le côté d’Héra, le condamne à la
cécité : « …condamna les
yeux de son juge à des ténèbres éternelles.[3]»
Selon la
mythologie hellénique, la perte de vue est liée à l’obscurité. Toutefois, cette
liaison parle de l’apparence et de l’allure, c’est-à-dire que l’interprétation
de cette citation ci-dessus explique que le personnage qui devient aveugle est
condamné à l’obscurité éternellement, il n’arrive plus à distinguer quoique ce
soit !
Le sage Tirésias
sait très bien ce qu’est la perte de la vue, il essaie d’expliquer à Œdipe roi que
l’apparence n’est pas liée à la vue. Dans la discussion entre les deux hommes,
nous distinguons deux niveaux de compréhension : un niveau, celui de
Tirésias, l’aveugle, qui voit et l’autre niveau est celui d’Œdipe roi le voyant
qui ne voit pas ou plutôt qui refuse de voir. C’est-à-dire, il est impossible
de comprendre la parole de Tirésias, à cause de différents degrés d’interprétations
de la vue, par conséquent, le dialogue entre le sage et Œdipe roi se noircit,
voire devient plus vulgaire.
Œdipe roi accuse Tirésias
de stupidité bien qu’il soit le contraire pour les géniteurs du roi. Dans ce
cas, il est presque difficile de mettre la lumière sur un aspect pour un homme
qui ne voit que l’apparence du sujet, sans être capable de mettre sur scène la
vraie interprétation de la métaphore, la vue.
« Œdipe :
pouvais-je donc savoir que tu ne dirais que sottises? J’aurais pris sans cela
mon temps pour te demander jusqu’ici.
Tirésias : Je
t’apparais donc sous l’aspect d’un sot? Pourquoi étais-je un sage aux yeux de
tes parents? »
Le roi cherche ce qu’il veut concrètement, il ne voit
pas plus loin que son nez, il n’arrive pas à résoudre l’énigme des paroles de
Tirésias, il ne lit pas, ni entre les lignes ni la métaphore des mots. Il est
aveuglé par sa recherche de trouver l’homme qui
serait susceptible de répondre à ses préoccupations. Cependant, le sage
Tirésias insiste et essaie encore une fois de mettre la lumière sur la
situation accablante devant le roi, mais en vain.
« Tirésias :
… on le croit un étranger, un étranger fixé dans le pays : il se révélera
un Thébain authentique-et ce n’est pas cette aventure qui lui procurera
grand-joie. Il y voyait; de ce jour il sera aveugle; … »
Bien que Tirésias
ait essayé d’expliquer au roi la situation et de le pousser à chercher la
vérité plus loin, Œdipe roi saisit finalement la vérité. À un moment donné, il
comprend ce qu’il a fait à ses parents, il comprend l’atrocité de ses actes. Par
conséquent, il commence à voir, pourtant, il ne voit qu’une seule solution afin
d’être purifié de ce qu’il avait fait. Il se crève les yeux et à ce moment-là,
il saisit la vérité, il comprend que l’aveugle Tirésias voit et lui qui est
devenu aveugle voit aussi, le rôle s’inverse.
Œdipe roi qui
voyait ne comprenait pas sa situation et lorsqu’il perd la vue, il comprend
tout. La combinaison de la vue change.
Les choses que le
roi voit maintenant se trouvent dans une optique différente de celle qu’il
voyait avec ses yeux comme tout le monde. Il devient comme le sage aveugle
Tirésias qui voit les choses dans une vision bien différente de celui qui
possède des yeux. En réalité, c’est le moment fatidique pour Œdipe afin de
comprendre la parole du sage aveugle et voit sa position dans une vision bien
différente.
Œdipe :
Ah! ne me dis pas que ce que j’ai fait n’était pas le mieux que je pusse faire!
Épargne-moi et leçon et conseil!... Et de quels yeux, descendu aux Enfers,
eussé-je pu, si j’y voyais, regarder mon père et ma pauvre mère, alors que j’ai
sur tous les deux commis des forfaits plus atroces que ceux pour lesquels on se
pend? Est-ce la vue de mes enfants qui aurait pu m’être agréable? Des enfants
nés comme ceux-ci sont nés! Mes yeux à moi, du moins ne les reverront pas, non
plus que cette ville, ces murs ».
L’interprétation
de la vue dans la mythologie grecque contient des allégories et des métaphores.
En effet, elle nous guide à comprendre ce thème dans plusieurs sens, et de
considérer les choses dans une optique différente.
Pour finir, il est
clair que le thème de la vue dans Œdipe roi n’est pas lié à un organe qui est
les yeux. Cependant, l’homme peut voir à travers d’autres optiques dépendamment
de son âme ou de son esprit. Par ailleurs, le cœur peut aider l’aveugle à voir
où se trouve la vérité. En effet, si Dieu prétend, selon la Bible, que le cœur
est la source du mal, l’homme croit au contraire que le cœur peut servir d’optique
à comprendre la vérité, bien évidemment chacun d’entre nous possède sa propre
vérité.
En somme, la mise
en scène de la vie quotidienne nous aide à saisir que nous pouvons mettre en scène
tout ce que nous pensons, nous faisons et nous sentons. La vie est un grand
théâtre qui a besoin de grands acteurs afin d’interpréter le rôle idéal pour réussir
ou comprendre la vie. A.M
[1] SANTAYANA,
George, Soliloquies in England and Later soliloquies, Scribner’s, New York,
1922. P.131-32.
[2]
BOISSON, Bénédicte, FOLCO, Alice et MARTINEZ, Ariane, La mise en scène théâtrale
de 1800 à nos jours, Licence, Paris, 2010, 260p.
[3]Site
web consulté le 12.12.2017 [http://remacle.org/ ] http://remacle.org/bloodwolf/erudits/apollodorebiblio/livre3.htm
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