Les
femmes jouent un rôle important dans la prospérité de la société québécoise,
elles travaillent dans tous les domaines sans exception, cependant, elles ne
sont bien présentées en politique. Par conséquent, est-ce qu’il est important
qu’elles soient nombreuses à l’Assemblé nationale, et quel sera les meilleures
solutions pour que les femmes s’intéressent à la politique?
Par: Adam Mira
La
Belle province a accordé aux femmes le droit de vote dans les années 1940,
c’était la période de Seconde guerre mondiale où Canada a perdu beaucoup de
canadiens pour libérer l’Europe de nazies. La situation économique qui a poussé
les politiciens de donner aux femmes une marge de liberté. Après la guerre,
nous avons vécu les 30 années heureuses de 1950-1970 où l’occident a vécu un
grand changement, notamment avec l’émergence des mouvements contre-culture, c’était la période où
les femmes débutaient de prendre leur place dans la société et participaient
activement dans la construction de la société occidentale.
La
politique reste un champ moins exploité par les femmes, bien que d’autre
domaine comme l’enseignement est presque réservé aux femmes.
Selon
les statistiques de l’Assemblée nationale, les femmes se trouvant à l’Assemblé
nationale plus âgés que les hommes.
« A
moyenne d'âge des femmes (52,1 ans) est légèrement supérieure à celle de leurs
collègues masculins (51,4 ans). »
Cela dit
que les femmes de l’époque de la mouvance socialiste des années heureuses sont
plus politisées de notre époque actuelle, la gauche était plus forte que
maintenant et les mouvements féministes cherchaient activement d’avoir son rôle
dans la société, cependant, avec le temps, les approches ont changé, car les
femmes possèdent un rôle principal dans la société et elles sont omniprésentes
dans tous les domaines. Bien qu’elles ne possèdent pas une proportion
importante à l’Assemblée nationale, cela ne signifie pas qu’elles sont
négligées ou écartées, au contraire, chaque parti politique sollicite les
femmes de participer à la politique, mais finalement c’est leurs choix de
participer ou non. Cela dit, l’amélioration de la situation de femmes à l’Assemblée
nationale ou la participation à la politique a besoin d’encouragement et de plan
afin d’attirer les femmes à ce champ bien détesté par les familles.
« Ministres
et députées identifient clairement les obligations familiales au sommet de la
liste des obstacles. Viennent ensuite le manque de confiance en soi, le manque
d'intérêt des femmes elles-mêmes pour la politique ou encore le cynisme ambiant
envers la politique et ceux qui la pratiquent. »
En somme, les
femmes qui ont l’intention de participer à la vie politique, elles vont avoir l’appui
et le soutient d’autres politiciens, dans ce cas, c’est leur volonté qui
compte. A.M